HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1119



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Chapitre 1119


Sur ce, Gisèle ressentait une joie profonde. Bien qu’elle n’ait aucune idée sur la


fonction de cette amulette, elle était beaucoup reconnaissante du fait que Clément la fabriquerait de ses propres mains pour elle.


Les yeux rouges, elle a dit avec sincérité :


– Maître Clément, je suis tellement touchée de ta gentillesse que je ne sais même pas t’en récompenser !


En fait, ce qu’elle voulait dire réellement, c’était qu’elle avait envie de récompenser par rester à ses côtés toute sa vie. Mais bien sûr, une demoiselle si fière comme Gisèle, elle était bien embêtée pour lui dire ça.


Clément quant à lui le prenait à la légèreté, parce qu’il tenait à l’amitié toujours. Gisèle pour lui était une bonne amie dont il appréciait beaucoup la qualité. Il montrait donc de la sincérité vers elle.


Pourtant, il avait l’impression qu’elle pesait plus qu’une amie générale dans son cœur. Clément appréciait ses valeurs et ses comportements.


Encore, ils partageaient le destin pareil: ils étaient issus de la famille riche et orphelins des parents depuis enfance. Bien sûr, elle était plus chanceuse que lui, car elle n’était pas au moins expulsée de sa famille.


Brièvement, en raison de l’appréciation et la compassion pour elle, Clément obéissait à ses impulsions de prendre soin d’elle.


Gisèle conduisait exprès à lente vitesse pour qu’elle ait plus de temps à passer avec lui.


Il y avait une grande rivière entre la Villa des Poincaré et le Quartier Glitact. Avant que la voiture ne monte sur le pont, Gisèle s’est retournée soudain vers Clément en


demandant avec attentes :


– Maître Clément, si tu n’es pas pressé à rentrer, aimerais–tu m’accompagner pour faire une promenade au bord de la rivière ?


Clément a accepté :


– D’accord.


– Bien, Gisèle a été heureuse, je connais un endroit tranquille et peu fréquenté où nous pouvons nous promener et apprécions le vent.


En disant, elle conduisait à une rue à côté de la rivière. Ayant bien garé la voiture, elle a proposé:


– On peut y aller par un sentir. Descendons d’ici.


Donc, les deux ont ouvert la portière pour descendre.


Comme l’hiver approchait, il faisait froid peu à peu. Gisèle portait un manteau en fourrure, la robe de style noble et élégant, ainsi qu’un sac à main de Hermès rouge. Ses cheveux flottant à la brise la rendaient beaucoup charmante.


Dans le vent, elle a pris une inspiration profonde et a souri:


– Quand j’étais petite, j’aimais me promener au bord de la rivière, mais maintenant, je deviens de plus en plus occupée et je n’ai plus le temps.


En souriant, elle a dit à Clément :


– Descendons, Maître Clément.



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