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Chapter 1370
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Chapitre 1370
– Mais si vous coopérez avec nous, je consacrerai toutes les lignes de production de notre Groupe Takamoto à la production du Moineau pour vous soutenir le plus largement possible votre faible productivité !
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De plus, nous pouvons convenir à l’avance de la part de recettes de nos deux entreprises, comme par exemple, vous obtiendrez 60% de recettes, et nous 40%. Et après, nous remplacerons << le Moineau »> par << le Moithier >>, pour montrer que c’est un produit que vous avez développé en partenariat avec notre Groupe Takamoto.
–
La productivité de notre Groupe Takamoto est au moins dix fois plus élevée que la vôtre, nous avons plusieurs lignes de production au Japon et trois autres en Europe, et chacune de ces lignes est à la fine pointe de la technologie ! Mais si vous voulez construire autant de lignes de production, il faudra au moins cinq à huit ans, alors pourquoi ne pas coopérer avec nous ?
Tomeo a beaucoup parlé, mais ce qui a vraiment frappé Claude, c’était la faible productivité du Groupe Pan.
Le Groupe Pan, anciennement le Groupe Poulin, était de taille largement plus petite que le Groupe Takamoto.
Le Groupe Pan n’avait que des actifs fixes d’environ 300 millions d’euros, mais quant au Groupe Takamoto, rien que l’argent que leur avait extorqué Clément s’est élevé à 1100 millions d’euros, et
maintenant ils pesaient déjà plus de 10 milliards d’euros, soit des dizaines de fois plus élevé que le Groupe Pan.
Par conséquent, pour augmenter la productivité du Moineau, il fallait non seulement inciter aux employés de faire des heures supplémentaires autant que possible, mais aussi mettre en place de nouvelles lignes de production au plus vite.
Mais comme l’avait dit Tomeo, il faudrait sûrement suffisamment de ressources humaines, matérielles, et financières, et surtout beaucoup de temps pour bâtir les nouvelles lignes de production.
En ce cas, même si le Moineau a connu un succès planétaire plus tard, le Groupe Pan ne serait pas capable de répondre aux besoins du marché à défaut de productivité jusqu’à l’achèvement des nouvelles lignes de production.
En pensant à cela, Claude hésitait un peu, alors il a dit à Tomeo:
– Je suis désolé, M. Tomeo, je ne suis qu’un responsable, et ce n’est pas moi qui ai le dernier mot chez nous, donc je dois demander l’avis de mon boss avant de te dire si on accepte de collaborer ou pas.
Voyant que Claude avait l’air un peu ébranlé, Tomeo a réalisé qu’il y avait encore une possibilité pour lui de coopérer avec le Groupe Pan, alors il a dit en souriant:
Eh bien ! Alors s’il te plaît, dépêche-toi de demander à ton boss s’il a l’intention de coopérer avec nous, si oui, nous pourrons trouver dès que possible le temps de nous rencontrer pour entamer la négociation dans les détails. Une fois la coopération parvenue, notre Groupe Takamoto commencera à produire grandement le Moineau, c’est-à-dire le futur Moithier!
D’accord, a dit Claude en hochant la tête.
Il a sorii son téléphone portable et est allé dans un coin calme, puis a appelé Clément.
En ce moment, quand Clément regardait Alina prendre la médaille d’or au sommet du podium, il ne pouvait s’empêcher de se sentir un peu désolé pour lyo.
À ce moment-là, il a reçu un coup du fil de Claude.
-Claude, qu’est-ce qu’il y a ? a demandé Clément.
Claude a dit à la hâte :
– Maître Clément, un japonais s’offre à coopérer avec notre Groupe Pan, vous devez le connaître.
Clément est resté un instant stupéfait, puis il a demandé en souriant:
– Tu parles de Tomeo?
— Oui, c’est lui !
Claude s’est empressé de raconter les détails de cette affaire à Clément, puis il a ajouté tout agité :
– Maître Clément, je pense que notre productivité actuelle est effectivement le maillon le plus faible de notre entreprise, et si nous voulons augmenter grandement notre productivité au plus vite, la plus simple solution en est de coopérer avec le Groupe Takamoto, non ? Quant à la part de recettes de nos deux entreprises, si vous n’en êtes pas satisfait, je pourrai rediscuter avec Tomeo.