HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1460



Chapter 1460

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Chapitre 1460


Autrement dit, ils ne pouvaient que continuer à mener une vie d’eunuque.


Quand ce genre de vie finirait-il ?


Encore que mécontents, ils n’osaient pas énerver Clément.


Ils craignaient que si Clément se fachait, il refuserait de les guérir. Comme ça, le reste de leur vie serait sans joie.


De ce fait, Ernest ne pouvait que dire avec respect:


– Rassurez-vous, M. Clément, je me comporterai bien !


Clément a hoché la tête et dit d’un ton léger:


-Levez-vous tous. Si les spécialistes légaux entrent pour voir cette scène, ils se sentiront étranges.


Les quatre se sont alors leves.


Mais Clément a ajouté d’une voix froide


– Ne dites à personne mon identité avant que je la révèle au grand public Sinon, je ne vous laisserai pas vous en tirer


Ernest savait qu’il ne pouvait offenser Clément Non seulement ce dernier était le jeune maître des Huet, mais il avait le soutien de son frère aîné. Le plus important, c’était qu’il possédait le moyen de les quérir Il n’était pas capable de payer le prix de l’offenser.


Donc, il a dit sans hésitation:


Rassurez-vous, M. Clement. Nous ne dirons à personne vos affaires


Les trois autres personnes ont aussi hoché la tête sur le champ


Puisqu’ils n’avaient pas l’air de mentir, Clement les ont laisses partir Il s’est retourné pour dire à Bitoric


Oncle Bitoric, dans la conférence de presse suivante, je ne vais pas me montrer devant les medias. Je paraitrai en tant qu’auditeur.


Bitoric a hoché la tête et dit


– D’accord, Clement. Je vais demander à mon secrétaire de l’arranger une place.


Peu après, les employés du département juridique sont venus


Ces employés étaient tous les meilleurs spécialistes légaux dans le Pays C


Avec leur compétence professionnelle, ils défendaient les droits et intérêts du Groupe Benett Ils étaient tous élites.


Comme la rédaction de l’accord de transfert de droit de vote n’était pas compliquée, ils l’ont vite finie


Une fois que l’accord serait signé, les droits de vote attachés aux actions d’Ernest et de Marian appartiendraient perpétuellement à Bitoric.


Même après leurs morts, leurs successeurs seraient obligés d’y obéir.


Et même si Bitoric était décédé, la personne qui hériterait ses actions obtiendrait naturellement les droits de vote d’Ernest


et de Marian.


C’est-à-dire que Clothilde n’aurait pas non plus peur que ses cousins s’emparent du pouvoir. Tout le Groupe Benett serait


sous son contrôle.


En dépit de cela, Ernest et Marian ont docilement signé le contrat de transfert.


Chaque contrat était en cinq exemplaires, dont un pour Bitoric et un pour Ernest ou Marian.


Les autres trois exemplaires seraient respectivement gardés par le département juridique, le notaire et la banque.


Comme ça, on pourrait échapper à la possibilité que l’accord soit rompu.


La signature marquait la fin de résistance d’Ernest et de Marian.


Dorénavant, ces deux derniers ne pourraient que suivre l’ordre de Bitoric et partager le bonus. Tant que Bitoric ne leur permettrait pas de prononcer les mots devant le Conseil, ils devraient se taire.


Une fois que le contrat a été signé, Bitoric s’est levé pour dire :


– Allez vers le hall. Les journalistes nous attendent il y a longtemps.



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