HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1943



Chapter 1943

Chapter 1943


Chapitre 1943


Le subordonné de Clovis ne savait pas qui était Clélia.


Il savait seulement que Clovis lui avait demandé de surveiller de près cette femme; il n’avait aucune idée de qui elle était et d’où elle venait.


Il en voulait donc à Clélia d’être si ingrate.


Clélia ne s’attendait pas à ce qu’un des hommes de Clovis lui parle ainsi.


Elle a grondé :



Sais-tu qui je suis? Comment oses-tu me parler ainsi ?


L’homme a juré en serrant les dents’:


– Je m’en fiche, comment oses-tu parler ainsi du steak de ma mère, salope!


Clélia a grondé :


Ce steak est infect, ta famille est-elle si pauvre que tu m’achètes un tel steak?


L’homme, qui mesurait environ 1,80 m, est devenu rouge de colère et a dit :


Qu’est-ce que tu sais, c’est un steak de l’une des vaches élevées dans ma ferme et nous ne les vendons pas au public normalement.


Clélia a répondu d’un air arrogant:


C’est le genre de merde que seuls les pauvres comme toi mangent !


Sur ce, elle a jeté le steak devant l’homme en disant :



Je ne mange pas ces saletés, alors va me préparer un bon steak de Wagyu ! L’homme était furieux de voir Clélia vider le steak de sa mère et il a giflé Clélia.


Clélia a grondé :



Tu… Tu n’as pas le droit de me frapper ! Je vais te tuer !


L’homme a dit:


– Je t’ai déjà servi le repas d’aujourd’hui, si tu veux encore manger, attends demain.


Clélia s’est exclamée :



– Qu’est-ce que tu as dit ? J’ai pris seulement une bouchée de ce steak et j’ai vomi!


L’homme a dit d’un air indifférent :


Ce n’est pas mes affaires, je t’ai déjà apporté le repas de toute façon.


Clélia a serré les dents et a dit :



Je ne mangerai pas les ordures comme ce steak, tu me commanderas un McDonald’s!


A ces mots, l’homme a explosé :



Comment oses-tu qualifier ce steak d’ordure, salope ! Le McDonald’s c’est vraiment la malbouffe !


Sur ce, il a claqué la porte de la chambre et l’a fermée à clé.


Sans aucune nourriture, Clélia mourait de faim.


Le soir, Clélia ne résistait pas à l’envie d’appeler Didier pour lui raconter de façon exagérée ce qui lui est arrivé à la Cité J. Elle a supplié alors son père:


Je ne peux plus en souffrir, je ne peux plus ! Papa, s’il te plaît, parle à Clément et demande-lui de me laisser partir, je n’en peux plus…


Didier l’a écoutée et lui a dit simplement:


– Bon, comme je te l’ai a dit avant, c’est ta faute et tu dois rester une semaine à la Cité J.


Clélia s’est étranglée :


– Papa, je n’en peux plus, j’ai eu faim toute la journée et si je continue comme ça, je vais devenir folle !




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