HOMME INACCESSIBLE

Chapter 2088

Chapter 2088

Chapitre 2088

<< Le moment venu, je bénéficierais également d’une réduction de peine si j’indemnise activement les familles des victimes et obtiens la compréhension d’eux !»

Frébric s’est dit:

<< Tout ce qui peut être résolu avec de l’argent n’est pas un problème ! Je peux leur donner trois millions ou 5 millions d’euros respectivement ! Ils seront tellement contents !»

Phillipe était également conscient qu’il ne s’agissait pas d’une société féodale et qu’il ne pouvait pas

vraiment tuer Frébric et Cédric devant tant de monde.

Bien sûr, Philippe ne pourrait pas faire quelque chose d’aussi cruel, même s’il n’aimait pas du tout Cédric et Fébric.

Mais ils étaient, après tout, son fis et son petit-fils.

Sa famille n’était pas nombreuse et elle ne se permettait pas à subir cette perde.

Les parents sont ainsi, bien que leur enfant soit comme un loup vicieux, ils voudront couper leur propre chair pour le nourrir.

Phillipe l’était aussi, il voulait aussi remettre les deux hommes aux autorités judiciaires, mais il pensait

alors à Clément.

Il s’est dit :

« Cette fois, si Maître Clément m’aide, c’est pour Gisèle. >>

« Il ne faudrait pas que Clément soit mécontent de la façon dont j’ai géré cette affaire et que je me permette de le vexer!»

Phillipe s’est tourné vers Clément et lui a dit respectueusement:

Maître Clément, grâce à vous, sinon moi et Gisèle serions morts, alors c’est à vous de décider quelle punition leur infligera?

En entendant cela, Frébric s’est empressé de se prosterner devant Clément et a crié :

–

Maître Clément, épargnez-nous et remettez-nous à la justice!

Cédric a également plaidé :

– Maître Clément, laissez la loi nous juger, s’il vous plaît…

Cédric comprenait aussi que la peine de prison, aussi douloureuse soit-elle, était son meilleur choix pour le moment, face à cet homme cruel.

En prison, ils pouvaient également bénéficier de soins spéciaux en achetant les gardiens.

A ce moment, Clément s’est tourné vers Gisèle, a souri et a demandé:

– Gisèle, qu’en dis-tu ?