HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3632



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Chapitre 3632


Bientôt, Kyan et M. Éloi sont arrivés dans l’Association de la Calligraphie l’un après l’autre dans leur voiture.


Roselyne était là depuis longtemps.


Dès qu’Éloi est arrivé, son secrétaire l’a conduit vers la salle de réunion et a dit à Rosélyne:


-Mile Jacqueline, ces deux sont notre président et vice-président, M. Éloi et M. Kyan.


A ces mots, elle a tourné la tête vers Éloi et Kyan, en présentant :


1. Éloi, M. Kyan, C’est Mile Jacqueline.


Rosélyne, très prudente, n’a pas révélé sa vraie identité.


Elle avait des identités différentes et légales selon les pays et Jacqueline Mullen en était une.


Jetant un regard sur Kyan, Rosélyne a poussé un soupir de soulagement. Elle voulait profiter de cette occassion pour s’informer de son gendre, Clément.


Alors, elle s’est levée et les a salués en souriant :


1. Éloi, M. Kyan, enchantée de faire vos connaissances.


2. Éloi ne s’attendait pas à ce que cette femme soit si jeune et si belle. Il a été stupéfait un moment, puis s’est repris et a dit:


– Enchanté. J’ai appris que quelqu’un voulait faire don de peintures, mais je ne pense pas que c’est une jeune fille. Mlle Jacqueline, vous êtes de la Cité J avant?


Rosélyne a agité légèrement la tête et a répondu en souriant:


– Mes ancêtres étaient de la Cité J. Bien que nous nous installions à l’étranger depuis longtemps, mes aînés ont toujours une affection très profonde pour cet endroit. Mais ils sont trop vieux pour aller ici, alors ils me confient le don des peintures.


A ces mots, elle a appelé Mariana :


Mariana, prend les peintres.


Mariana a fait un pas en avant et a ouvert une boite en nanmu de soie dorée où il y avait huit peintures. Les Brunelle ont acheté ces peintures d’un collectionneur américain et les ont transportés à la Cité J dans la nuit, pour pallier le mensonge que Rosélyne a fait.


Kyan et Éloi, ne savaient pas sûrement que la raison pour laquelle Roselyne faisait cela était pour s’informer de Clément.


En ce moment, Rosélyne a fait signe de main pour inviter ces deux de voir les peintres, en disant :


– M. Éloi, M. Kyan, ce sont des peintures de Fédrien que mes aînés m’ont demandé d’apporter ici, veuillez les examiner s’il vous plaît !


Éloi, très excité, a sorti une paire de gants blancs pour les mettre, a pris prudemment une peinture et l’a étalée sur la table. Il l’a appréciée, tout en s’exclamant:


– C’est exactement l’œuvre de Fédrien. Et il semble que cette peinture est laquelle que Fédrien a dessinée à l’apogée de sa carrière. C’est bien conservé, c’est très précieux !


Rosélyne a hoché la tête et a souri:


– Ces huit peintures appartiennent à une série d’œuvres de Fédrien qui décrit les quatre saisons, les mœurs et les coutumes de la Cité J. Bien sûr, c’est très rare de les conserver si parfaitement.


Éloi a dit d’un air excité :


– Ces huit peintures signifient beaucoup pour la Cité J. Dès que j’ai commencé à apprendre à dessiner, j’ai entendu dire que ces peintures étaient arrachées par les étrangers. Je ne m’attends pas à ce que j’aie la chance de les voir. Regarde, Kyan, Fédrien est le plus célèbre parmi les peintres locaux de la Cité J et ces peintures représentent très bien l’histoire de notre cité. Regarde, quelle peinture étonnante !


Malheureusement, Kyan ne pouvait comprendre que c’était un bon tableau et quant à ce qui était bon, il ne pouvait pas le dire. Alors, il ne faisait que faire chorus avec lui:


– Ah oui, quelle peinture! Quel peintre/!



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