HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3752

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Chapitre 3752

Entendant cela, Bernard était pris de panique.

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Il avait des centaines de milliards d’euros de fortune, mais ça n’aurait pas du tout de sens s’il n’était pas en vie. Donc, il devait absolument participer à la vente aux enchères de la Pilule de Renouveau!

En pensant à cela, Bernard s’est empressé de dire d’un ton humble et flatteur

– Oh, ne vous fâchez pas, monsieur, s’il vous plaît, dites à M. Edmond que je veux bien acheter vos produits !

Sur ce, il a montré du doigt le sceau impérial et a dit en serrant les dents :

– Eh bien, je vais payer ce sceau impérial!

Clément a dit avec un sourire malicieux :

– Mais M. Bernard, ce sceau impérial ne suffit pas encore…

Entendant cela, Bernard a serré les poings et a demandé d’une voix un peu tremblante:

– Alors qu’est-ce que je dois encore acheter ?

Cela dit, il a jeté un coup d’oeil aux bricoles de Florentin et a dit :

– Eh bien, j’achèterai également la coupe en bronze, est-ce suffisant?

Clément a secoué la tête et a montré à nouveau son reçu d’achat à Bernard, en disant:

– Regarde, notre patron a acheté des dizaines de marchandises chez Hermès, alors comment peux-tu acheter seulement deux produits chez nous ?

Bernard s’est exclamé :

– Mais… mais toutes ces marchandises de Hermès ne valent qu’en tout 100 mille euros, et seul ce sceau impérial est 300 fois plus cher que ça ! Vos… vos représailles sont vraiment trop cruelles…

– Représaillés ? a dit Clément sérieusement, M. Bernard, il faut savoir qu’on ne te force jamais à acheter nos produits, tu as toujours le droit de refuser et de dire non, d’accord?

Entendant cela, Bernard s’est empressé de dire, tout paniqué:

– Désolé, Monsieur, j’avais tort… s’il vous plaît, dites-moi simplement combien de produits j’aurai à acheter chez vous, et je ne m’en plaindrai jamais plus

Condition que les prix ne soient pas insupportables pour moi !

Cela dit, il a poursuivi d’un ton suppliant:

– De plus, je vous prie de dire à votre patron que pour lui présenter les plus sincères excuses, désormais, je lui offrirai 2 pour tous les nouveaux produits des marques que je possède, même de chaque couleur. J’espère seulement qu’il me pardonnera et ne me mettra plus dans l’embarras…

Entendant cela, Clément a dit d’un air indifférent :

– Eh bien, ce n’est pas le moment d’en parler.

Cela dit, il a fait signe de la main à Florentin et a dit :

– Florentin, hâte-toi de reprendre le sceau impérial et la coupe en bronze.

Florentin a hoché la tête et s’est empressé de mettre ces deux produits factices sur la table.

Puis, Clément a repris :

– Tu as encore des trucs bien ? Montre-les à M. Bernard!

– Oui, d’accord!

Florentin s’est immédiatement baissé pour fouiller dans le tas de bricoles et bientôt, il a sorti un rouleau de peinture et l’a remis à Clément en disant: – Maître Clément, c’est une belles chose, ouvrez-le, s’il vous plaît !

Quand Clément passait sa main sur le rouleau de peinture, le toucher du papier lui permettait de sentir bien que c’était un ouvrage des temps modernes. Puis, il a ouvert la peinture et a trouvé avec étonnement que c’était la célèbre peinture de La Joconde.