Chapter 4082
Chapter 4082
Chapter 4082
Chapitre 4082
Le garde du corps n’a pu s’empêcher de demander:
– Monsieur, avez–vous reçu un autre message?
e?
Maret a jeté un regard dégoûté à la ferme sur le bord de la rue et a déclaré :
0+10 Borus
– C’est scandaleux, ils exigent que je glisse mille dollars dans le col de cette femme en échange de
quelque chose qu’elle doit me donner! Le garde du corps est intervenu précipitamment :
– Monsieur, pamettez–moi d’y aller ! Il est possible qu’ils aient dit à cette femme que si quelqu’un
dépose mille dollars dans son col, elle doit remettre l’objet er question. Cette femme ne vous connaît
probablement pas, donc peu importe qui effectue la transaction.
Maret a répondu spontanément :
– C’est trop risqué… Ils ont des gens qui nous surveillent en secret, si j’essaie de les tromper, cela
pourrait mettre Alain en danger!
Le garde du corps a répliqué:
– Vous ne pouvez pas y aller vous–même non plus, et si cette femme est une tueuse ou porte une
bombe? Nous ne pouvons pas garantir votre sécurité !
En entendant cela, Maret a été pris de stupeur. Il craignait que ce soit un piège tendu contre lui et que
quitter la voiture n’augmente davantage le danger plutôt que de le réduire.
Cependant, il savait que ne pas agir pourrait mettre la vie de son fils en péril, tout en risquant de
déplaire à son père, Ardouin, connu pour sa détermination et sa cruauté.
De plus, Maret n’était pas un fils unique ; il avait deux frères plus jeunes qui convoitaient la position de
chef de famille. Si sa performance décevait Ardouin cette fois–ci, l’héritage de la position de chef de
famille deviendrait certainement plus difficile.
Après mûre réflexion, il a décidé de prendre le risque.
Il a donc contacté son père, Ardouin. Dès que l’appel a été établi, Ardouin a demandé:
– Maret, quelle est la situation?
Maret a expliqué la situation à son père et a exprimé avec détermination :
– Père, si quelque chose m’arrive, vous devez me promettre de retrouver Alain!
Ardouin a émis un léger grognement et a répondu
Ne t’inquiète pas, ils n’ont aucune raison de te tuer.
Maret, surpris, a demandé :
Pourquoi penses–tu ça, père ?
Ardouin a répliqué froidement :
– Ils ont enlevé Alain et ont pris l’initiative de te contacter, ce qui prouve qu’ils cherchent certainement
de l’argent. S’ils sont intéressés par l’argent, quel serait l’intérêt de te tuer après tout ce travail ? En te
tuant, non seulement ils ne recevront pas un sou, mais ils terniront aussi leur réputation devant nous.
S’ils te tuaient et utilisaient Alain pour me menacer et demander une rançon, je ne cèderais
certainement pas. Pour eux, le jeu n’en vaut pas la peine, alors avance sans crainte.
Maret était un peu déçu.
Il avait espéré saisir cette opportunité pour briller aux yeux de son père, mais au final, il s’est retrouvé à
paraître ridicule, laissant son père penser qu’il était incapable de comprendre la situation.
Déprimé, il n’a pu que répondre à Ardouin:
– D’accord, père, je comprends. Je vais voir ce qu’il en est.
Pressé, Ardouin a insisté :
– Vite ! Tiens–moi informé de tout nouveau développement !
Maret n’a eu d’autre choix que de se plier à la demande.
Il a raccroché, demandé à son grade du corps de lui fournir mille dollars en espèces, les a serrés dans
sa main, a pris une profonde inspiration, puis a ordonné:
– Ouvre la portière !
Le garde du corps, nerveux, a objecté :
– Monsieur, se rendre directement là–bas est trop risqué. Laissez–moi d’abord vérifier si cette femme
pose problème!
– Pas besoin…
Maret a secoué la tête, sachant que son père Ardouin avait déjà émis cette recommandation. S’il
laissait quelqu’un d’autre vérifier cette femme et que cela parvienne aux oreilles d’Ardouin, ce dernier
serait certainement très déçu de lui.
Il n’a donc pas eu d’autre choix que de sortir de la voiture à contrecœur et de se diriger vers la femme
sur le bord de la route.