HOMME INACCESSIBLE

Chapter 719



Chapter 719

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Chapitre 719


Dès qu‘ils sont arrivés au commissariat de police de la Cité J.


Lorraine a été emmenée directement à la division des enquêtes des crimes graves pour interrogatoire.


En voyant les mots « Division d‘enquête des crimes graves » écrits sur l‘enseigne de la porte, Lorraine a tremblé de peur.


Jusqu‘à son arrivée à la salle d‘interrogatoire du poste de police, Lorraine était tellement paniquée qu‘elle était à deux doigts de s‘effondrer, et toute la Lorraine qui faisait preuve d‘une arrogance sans précédent quelques heures avant, avait laissé place à une Lorraine ressemblant à un loser.


Dans la salle d‘interrogatoire, la lumière incandescente brillait sur le visage de Lorraine.


Plusieurs officiers de la division d‘enquête des crimes graves étaient assis juste en face d‘elle


L‘un d‘eux a dit à Lorraine d‘une voix froide :


– Suspect criminel Lorraine, tu es maintenant le premier et le seul suspect d‘un gang criminel de haute technologie à l‘étranger, et tu as donc le devoir de nous avouer tous tes crimes et tout ce que tu sais de cette organisation dans les moindres détails, sinon, tu iras en procès et les choses risqueront d‘être plus compliquées pour toi.


À ce moment–là, Lorraine a immédiatement fondu en larmes :


– Monsieur, vous avez arrêté la mauvaise personne, c‘est plutôt mon gendre Clément que vous devrez arrêtez, c‘est plutôt lui votre suspect ... Lui, c‘est un criminel, et moi je suis un bon citoyen respectueux des lois, cette carte bancaire noire contrefaite est la sienne, moi je l‘ai simplement volée de la poche de son pantalon, c‘est pas moi qui suis le coupable.


Le policier a froncé les sourcils et a dit :


– Crois–tu qu‘il te suffit de dire que cette carte a été contrefaite par ton gendre et nous allons te croire sur parole ? Cette carte a été trouvée sur toi, c‘est toi qui es allée toi même à la banque pour virer l‘argent dans cette carte vers un autre compte bancaire, ce qui fait donc de toi le plus grand suspect !


Un autre policier à côté de lui a ricané et a dit :


– Je vois cette Lorraine veut faire porter le chapeau à son gendre après avoir eu conscience que les carottes sont cuites pour elle, n‘est–ce pas Lorraine ?


Après avoir fini de parler, il a regardé Lorraine et a dit froidement :


– Tu as même le coeur de sacrifier le mari de ta propre fille, cet acte n‘est–il pas trop inhumain ?


Lorraine a crié à l‘injustice :


– Ce que j‘ai dit est vrai, mon gendre Clément est en effet un grand menteur, il est le meilleur pour duper et escroquer des gens, c‘est lui le criminel, et pas moi!


L‘officier de police a tapé sur la table et a dit avec colère :


– Je pense que c‘est plutôt toi le criminel ! Je le répète encore, l‘indulgence pour ceux qui avouent leur crime, et sévérité à ceux qui refusent.


Lorraine s‘est écriée anxieusement :


– Monsieur, j‘ai déjà avoué ... Si ce que j‘ai dit a une seule once de mensonge, que le courroux du ciel s‘abatte sur moi!


Le policier a crié avec colère :


– Ici c‘est un commissariat, tu te crois dans un église ou quoi ? Tu crois qu‘il te suffit de jurer devant Dieu que tu es innocente et nous te laisserons partir ? Tu ferais mieux de me dire dans les moindres détails, les dirigeants ainsi que les personnes au bas de l‘échelle de votre organisation criminelle, les crimes que vous avez eu à commettre ainsi que les crimes que vous avez planifié de commettre à l‘avenir ! Maintenant, les Interpols de 23 autres pays demandent tous de t’amener chez eux pour ouvrir une enquête. Si tu continues de refuser de coopérer, nous te livrerons à la police américaine et leur demanderons de t‘emmener aux États–Unis pour un interrogatoire. Laisse–moi te dire que la police américaine est très violente dans l‘application de la loi et qu‘elle utilise souvent la torture pour obtenir des aveux.


Lorraine a crié de peur :


– Monsieur, j‘ai vraiment été accusée à tort, je ne suis d’aucune organisation criminelle, ni locale ni internationale, j‘ai juste volé une carte bancaire à mon gendre, puis j‘ai été arrêtée et amenée ici, je vous en prie cher officier, ne me livrez pas à la police américaine ...


L‘officier de police s‘est levé et a dit aux autres :


– La criminelle Lorraine a une attitude effrénée et refuse d‘avouer ses crimes de contrefaçon de carte bancaire et de fraude transnationale. Elle sera d‘abord placée au centre de détention, en attendant une enquête plus approfondie.


Lorraine a eu peur et a pleuré, elle s‘est effondrée sur le sol et a dit :


–Je n‘irai pas au centre de détention, vous ne pouvez pas m‘emprisonner injustement pour un crime que je n’ai pas commis, et si vous n‘arrêtez pas à vouloir me


tirer les verres du nez pour un crime que je n‘ai pas commis, je mourrai ici sur place!


L‘officier de police a regardé Lorraine, qui était allongée sur le sol, ne voulant pas se lever, et lui a dit froidement :


– Mettez–la sur ses pieds et emmenez–la directement au centre de détention ! – À vos ordres !


Les autres policiers ont immédiatement soulevé Lorraine et l‘ont emmenée directement au centre de détention de la Ville de la Cité J.


Il y avait trois centres de détention à la Cité J, spécialisés dans la détention administrative, criminelle et les détenus qui n‘avaient pas encore été jugés ou dont les peines étaient courtes.


Après le procès, les détenus condamnés à des peines plus longues étaient transférés directement en prison pour y purger leur peine.


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