HOMME INACCESSIBLE

Chapter 927

Chapter 927

Chapitre 927

A l‘approche du chariot élévateur, Clément y a fait faire place et a dit en faisant signe au conducteur du chariot élévateur:

– Allez, mets–le ici ! Le conducteur du chariot élévateur a immédiatement entrainé la Mercedes–Benz vers Clément. Edmond a dit à ce moment–là : – Non attends, ne le pose pas maintenant, sinon il blessera peut–être le jeune maître en appuyant sur l‘accélérateur ! Il faut retirer d‘abord les quatre roues de sa voiture avant de le poser! En entendant cela, quelques ouvriers du chantier ont immédiatement apporté du matériel et ont retiré les quatre roues de la Mercedes–Benz au plus vite. À ce moment, le gros homme assis dans la Mercedes–Benz a crié d‘un air horrifié : – Qui êtes–vous ? Qu‘est–ce que vous faites ? Clément l‘a ignoré.

Dès que les quatre roues de la Mercedes–Benz ont été retirées, le chariot élévateur l‘a rapidement mise à terre. Clément a sorti son téléphone portable et a commencé à enregistrer la vidéo. Il a regardé le gros homme par la fenêtre de la voiture et a dit froidement : – Tu es dirigeant du Gang Mandia ? C‘est toi qui t‘occupes de la traite des enfants pour le Gang Mandia ? Eh bien, je te préviens, tu ferais mieux de descendre tout de suite, sinon, je vais te le faire payer! Le gros homme regardait Clément d‘un air terrifié et a demandé : – Qui diable es–tu ? Je ne t‘ai jamais vu avant, et tu ne devrais également pas avoir de la rancune contre moi, non ? Clément a attrapé Abélard et a demandé en le pointant du doigt: – Le connais–tu ? N‘êtes–vous pas convenus tous les deux que tu viendrais lui reprendre dix orphelins ? En entendant cela, le gros homme a instantanément pâli. Puis, il a fusillé Abélard du regard et a grondé: – Abélard, comment oses–tu me trahir!? Abélard était également plein de colère en ce moment, il regardait fixement le gros homme et a crié :

– Salopard! Sans toi je n‘aurais pas dû faire fausse route ! Maintenant toute ma famille a été compromise! Clément a regarde à nouveau le gros homme et a demandé froidement: – Je vais te demander une dernière fois, ne veux–tu pas descendre ?

Mais le gros homme s‘obstinait à rester dans la voiture, après tout cela pouvait au moins lui donner un sentiment de sécurité.

Voyant que le gros homme demeurait immobile, Clément a dit à Édmond

–Y a–t–il du matériel de soudage dans ces véhicules du génie? Édmond a immédiatement demandé sur talkie–Walkie : – Qui a du matériel de soudage dans la voiture ?

Une voix est immédiatement venue du talkie–Walkie :

– M. Édmond, j‘ai un ensemble de soudage électrique et un onduleur dans ma voiture !

Édmond a dit :

– Bon, dépêche–toi de me les apporter!

Au bout d‘un moment, un camion s‘est approché. Après que le conducteur a sauté du camion, il a immédiatement sorti l‘ensemble de soudage électrique et l‘onduleur du coffre. Clément a pointé du doigt la Mercedes–Benz et a dit : – Puisque ce gros lard aime rester dedans, trouvez des barres d‘acier et soudez-les avec tous les portiers et les fenêtres de cette Mercedes–Benz !

Les véhicules du génie étaient chargés de toutes sortes de matériaux de chantier, dont la plupart étaient du ciment, du sable jaune et des scories, suivis de près par des barres d‘acier et des plaques d‘acier. En entendant l‘ordre de Clément le conducteur du camion a immédiatement fait signe aux autres ouvriers pour lui venir en aide. Bientot, quelques ouvriers se sont précipités avec beaucoup de barres d‘acier et de plaques d‘acier À cette vue, le gros homme était mort de peur et a demandé d‘une voix tremblante : – Je ne vous connais pas ! Pourquoi vous me faites ça ?! Clément a dit en ricanant:

– Dès le jour où tu as commencé à te livrer à la traite des enfants, tu aurais dû te préparer à te faire punir pour ça tôt ou tard ! Sur ce, il a ordonné aux ouvriers :

–Soudez !

En l‘entendant les quelques ouvriers se sont immédiatement affaires à souder les portiers et les fenêtres de la Mercedes–Benz avec des barres d‘acier et des plaques d‘acier. Le gros homme a frémi de terreur, presque évanoui.

Il avait l‘intuition qu‘il n‘arriverait vraiment pas à s‘échapper cette fois, mais il ne voulait toujours pas y croire.

Previous Chapter Next Chapter